Les parcs sont des lieux de bonheur par excellence. Comment les faire rayonner d’avantage pour que la qualité de vie des quartiers à proximité en bénéficie? En travaillant leurs «peaux», les trajets qui y mènent et les activités auxquelles on s’adonne en chemin.
Les projets de St. Etienne, Neuchâtel et Reims ont été mené sur la base de ce concept.
Le «Gouvernail» est un outil développé afin de complété ce concept sur le terrain.
« Demain ne ressemblera pas à aujourd’hui »
La ville est confrontée à une multitude de mutations technologiques et sociales convergentes qui redéfinissent les modes de vie et transforment la structure du quotidien : les piliers autour desquels nous fondons traditionnellement nos choix de localisation – la famille, l’habitat, l’école, la mobilité, le travail, les achats, les loisirs – subissent aujourd’hui des mutations vertigineuses dont l’accélération concomitante rend fragiles nos présupposés de ce qu’est un bon investissement immobilier.
L’explosion successive de ces cadres doit être prise en compte sous peine de bâtir une ville en décalage avec les usages et donc obsolète. Demain ne ressemblera pas à aujourd’hui. Quoi bâtir ? Où bâtir ? Faut-il même encore bâtir ?
Nous quittons aujourd’hui une économie tertiaire basée sur le paradigme serviciel pour rentrer dans une économie quaternaire basée sur le paradigme expérientiel. La ville du futur sera reconfigurée pour répondre aux défis de l’économie expérientielle.
Il s’agit aujourd’hui d’imaginer un monde où les expériences seront le nouveau moteur de l’économie, comme ont pu l’être successivement par le passé les matières premières, les produits manufacturés et les services. Les modes actifs ne viennent encore pas naturellement aux citoyens comme les modes par défaut pour se déplacer. Nos compagnons de la vie quotidienne restent encore le plus souvent la triade «chaise – écran – voiture », tous trois des objets qui assoient littéralement nos choix comportementaux autour d’un mode de vie pour l’essentiel sédentaire.
La ville verte, nature, l’environnement
La Ville du Dehors valorisent ses grands paysages, mais aussi ses trames vertes de proximité, et fait de la ville apaisée la condition nécessaire pour l’émergence puis l’adoption à large échelle des modes actifs, à l’instar de la marche et du vélo, pour assurer les déplacements quotidiens de leurs citoyens pour le travail, les achats ou les loisirs.
Valeurs: des terrains de jeu plus verts, plus sûrs et plus drôles pour que nos corps humains puissent y prospérer dans le mouvement.
Les modes actifs ne viennent encore pas naturellement aux citoyens comme les modes par défaut pour se déplacer. Nos compagnons de la vie quotidienne restent encore le plus souvent la triade « chaise – écran – voiture », tous trois des objets qui assoient littéralement nos choix comportementaux autour d’un mode de vie pour l’essentiel sédentaire.
La ville pour jouer, accueillante pour les petits et les grands
C’est la ville pour tous, la ville du don. L’espace public comme salon de la ville, les terrasses de café mais aussi les places de pique niques, les berges de lac et de rivières pour tous, sans obligation de consommer, et où chacun trouve sa place.
La ville créative est la ville dans l’air du temps. C’est l’art dans la ville, l’innovation, la découverte. Les musées déscendent dans la rue.
L’eau ressourçante, les parcs, les bancs pour faire la sieste, les endroits calmes dans la jungle urbaine.
C’est le moyen et non le but de parvenir à l’un des cinq modèles de ville ci-dessus, la ville multimodale est omniprésente dans les réflexions de bfluid.