Interview dans le journal Le Monde, 27.3.2019
Avec un travail en profondeur, une ville peut gommer la présence des voitures
Plutôt que de ségréguer l’espace public et séparer chaque mode de déplacement, il faut au contraire privilégier son partage dans une logique de cohabitation, avec un ralentissement des vitesses. Surtout en ville où l’espace est rare.