Posted by on 21 November 2018

« Plutôt que de ségréguer l’espace public et séparer chaque mode de déplacement, il faut au contraire privilégier son partage dans une logique de cohabitation, avec un ralentissement des vitesses »« La vitesse est une question essentielle. Face à la multiplicité des vitesses, on ne peut pas saucissonner les rues avec autant de voies qu’il existe de vitesses. L’idée est de privilégier des zones où il n’y a pas d’autre règle établie d’avance que celle qui dit que c’est le plus faible qui a la priorité »« Redonner une place de choix à la marche dans l’espace public, suppose de travailler sur le confort des traversées. Et de ponctuer la rue d’espaces de repos, bancs, jardins de poche, afin de promouvoir la rencontre, le lien social, mais également la pause au bénéfice de publics à mobilité réduite. »

« On sous-estime la marche, mais la marche constitue l’une des briques essentielles de la ville durable et multimodale »

« La marche est le ciment sans lequel le transfert modal ne pourrait s’effectuer entre les différents modes de transport, quels qu’ils soient. »

Lire l’article du Monde (21.11. 2018)

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